Autun et ses alentours
L’ensemble médiéval de Couches
Avant Autun, un petit arrêt à Couches pour voir son bel ensemble médiéval.
Le château médiéval de Couches dit de Marguerite de Bourgogne, présente un bel ensemble cohérent même s’il a été fortement reconfiguré. Son donjon seigneurial du XIIème siècle, sa tour de justice du XIVème siècle, sa chapelle du XVème siècle et son logis des XVème et XIXème siècle sont les parties les plus remarquables.
On peut aussi citer sa galerie souterraine associée à des souterrains permettent de conduire jusqu’à son parc arboré et son jardin topiaire. (sculpture de végétaux)
Autun et sa ville ancienne
Au nord-ouest du centre ville, sur la rive droite de l’Arroux, se dressent les restes d’un monument curieux basé sur une architecture gauloise, dit le temple de Janus. Sa forme particulière dite fanum.
Temple de Janus
Seuls subsistent deux murs de la cella, la pièce principale, hauts de 24 mètres et larges de 16 mètres. Sur la route qui y mène, on passe sous une porte gallo-romaine, la porte d’Arroux avec ses deux arcades bien conservées supportant une galerie de pilastres à chapiteaux corinthiens.
Porte d'Arroux Porte Saint-André
Ensuite, direction le théâtre antique, aujourd’hui encombré par les joutes musicales de la Gendarmerie nationale ; on va faire avec. Pour cela, il faut traverser une bonne partie de la ville… pédibus (c’est normal pour un théâtre antique). Les vestiges de ses degrés à gradins de 3 étages donnent une idée des dimensions de ce que fut le plus grand théâtre romain de la Gaule.
Après un crochet par la porte Saint-André avec ses 4 arcades, on redescend la large promenade des Marbres plantée d’arbres avec sur notre gauche, les imposants bâtiments aux toits de tuiles vernissées de l’École militaire.
La ville haute
Direction la ville ancienne et Saint- Lazare, sa belle cathédrale romano-gothique.
De l’extérieur, on ne voit plus guère son côté roman, avec son clocher reconstruit et doté d’une flèche gothique.
Tympan du porche central
Si les chapelles datent des XV et XVIème siècle, les deux grandes tours sont dues à Violet-le-duc. Il reste enfin à voir le magnifique tympan roman du portail central sur le thème du Jugement dernier.
Le porche central : trumeau et Christ en mandorle (inscrit dans un oval)
L’intérieur offre un ensemble aux belles proportions où on peut admirer en particulier les sculptures hautes des chapiteaux (une bonne douzaine de pièces remarquables) et ceux ornant la salle capitulaire, situés à l’origine dans le chœur et le transept.
La cathédrale
Sur la place côté du porche latéral, trône la fontaine Saint-Lazare à coupole et lanternon datant du XVIème siècle. Ceux qui ont du temps peuvent aussi visiter le musée Rolin en face de la cathédrale et le muséum d’histoire naturelle.
À côté de la cathédrale, à hauteur du boulevard des Résistants-Fusillers, on a une belle vue sur la partie la mieux conservée des remparts gallo-romains qu’on peut emprunter jusqu’à la tour des Ursulines.
La fontaine Saint-Lazare Vue des remparts gallo-romains
On peut ensuite redescendre vers la ville nouvelle par le passage de la Halle jusqu’à la place centrale avec les imposants bâtiments de la Mairie et du Théâtre et le jardin derrière la mairie.
La place centrale et la mairie
« < •• Christian Broussas – Autun - 25 mai 2016 -© • cjb •• © > »
L’ensemble médiéval de Couches
Avant Autun, un petit arrêt à Couches pour voir son bel ensemble médiéval.
Le château médiéval de Couches dit de Marguerite de Bourgogne, présente un bel ensemble cohérent même s’il a été fortement reconfiguré. Son donjon seigneurial du XIIème siècle, sa tour de justice du XIVème siècle, sa chapelle du XVème siècle et son logis des XVème et XIXème siècle sont les parties les plus remarquables.
On peut aussi citer sa galerie souterraine associée à des souterrains permettent de conduire jusqu’à son parc arboré et son jardin topiaire. (sculpture de végétaux)
Autun et sa ville ancienne
Au nord-ouest du centre ville, sur la rive droite de l’Arroux, se dressent les restes d’un monument curieux basé sur une architecture gauloise, dit le temple de Janus. Sa forme particulière dite fanum.
Temple de Janus
Seuls subsistent deux murs de la cella, la pièce principale, hauts de 24 mètres et larges de 16 mètres. Sur la route qui y mène, on passe sous une porte gallo-romaine, la porte d’Arroux avec ses deux arcades bien conservées supportant une galerie de pilastres à chapiteaux corinthiens.
Porte d'Arroux Porte Saint-André
Ensuite, direction le théâtre antique, aujourd’hui encombré par les joutes musicales de la Gendarmerie nationale ; on va faire avec. Pour cela, il faut traverser une bonne partie de la ville… pédibus (c’est normal pour un théâtre antique). Les vestiges de ses degrés à gradins de 3 étages donnent une idée des dimensions de ce que fut le plus grand théâtre romain de la Gaule.
Après un crochet par la porte Saint-André avec ses 4 arcades, on redescend la large promenade des Marbres plantée d’arbres avec sur notre gauche, les imposants bâtiments aux toits de tuiles vernissées de l’École militaire.
La ville haute
Direction la ville ancienne et Saint- Lazare, sa belle cathédrale romano-gothique.
De l’extérieur, on ne voit plus guère son côté roman, avec son clocher reconstruit et doté d’une flèche gothique.
Tympan du porche central
Si les chapelles datent des XV et XVIème siècle, les deux grandes tours sont dues à Violet-le-duc. Il reste enfin à voir le magnifique tympan roman du portail central sur le thème du Jugement dernier.
Le porche central : trumeau et Christ en mandorle (inscrit dans un oval)
L’intérieur offre un ensemble aux belles proportions où on peut admirer en particulier les sculptures hautes des chapiteaux (une bonne douzaine de pièces remarquables) et ceux ornant la salle capitulaire, situés à l’origine dans le chœur et le transept.
La cathédrale
Sur la place côté du porche latéral, trône la fontaine Saint-Lazare à coupole et lanternon datant du XVIème siècle. Ceux qui ont du temps peuvent aussi visiter le musée Rolin en face de la cathédrale et le muséum d’histoire naturelle.
À côté de la cathédrale, à hauteur du boulevard des Résistants-Fusillers, on a une belle vue sur la partie la mieux conservée des remparts gallo-romains qu’on peut emprunter jusqu’à la tour des Ursulines.
La fontaine Saint-Lazare Vue des remparts gallo-romains
On peut ensuite redescendre vers la ville nouvelle par le passage de la Halle jusqu’à la place centrale avec les imposants bâtiments de la Mairie et du Théâtre et le jardin derrière la mairie.
La place centrale et la mairie
« < •• Christian Broussas – Autun - 25 mai 2016 -© • cjb •• © > »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire