Référence : Didier van Cauwelaert, La personne de confiance, éditions Albin Michel, 209 pages, mars 2019
« L’écrivain de la reconstruction » comme il se qualifie lui-même, nous entraîne dans un de ces imbroglio dont il a le secret.
Max est un jeune banlieusard qui travaille comme un petit gars de banlieue, conducteur grutier à la fourrière. Ce boulot, il y tient mais un événement va le menacer.
Un jour, peut-être merveilleux ou peut-être néfaste, allez savoir, il enlève comme d’habitude une voiture sur un emplacement réservé à la livraison. Mais voilà qu’il découvre sur la banquette arrière, une vieille dame. Plus question d’enlever la voiture, mais que faire ?
Et en plus, il la connaît cette vieille dame : c’est Madeleine Lamor, héroïne de la Résistance, patronne d’une biscuiterie dont le portrait se trouve sur ses paquets de galettes bretonnes.
La pauvre le confond avec son amant de 1944, résistant traqué par la Gestapo. Max se retrouve piégé dans cette histoire, obligé de défendre Madeleine contre l’appétit vorace de son neveu qui la bourre de médicaments pour la spolier.
Madeleine l’apprécie de plus en plus et c’est ainsi qu’il devint son homme de confiance. Sa vie va basculer dans cet univers de l’entreprise qu’il découvre et le déstabilise au point qu’il ne sait, comme dit sa voisine Samira, si c'est « le kif absolu ou le plus dangereux des pièges »...
La trame du récit repose sur une belle histoire entre Max et Madeleine, un écart de générations qui ne les empêche pas de se comprendre et de se réconforter. Un récit , agrémenté du franc-parler de Max, le narrateur, qui ne manque pas d'humour.
* Mes fiches sur Didier van Cauwelaert --
<< Christian Broussas DVC - Divonne, 11/04/2019 © • cjb • © >>
« L’écrivain de la reconstruction » comme il se qualifie lui-même, nous entraîne dans un de ces imbroglio dont il a le secret.
Max est un jeune banlieusard qui travaille comme un petit gars de banlieue, conducteur grutier à la fourrière. Ce boulot, il y tient mais un événement va le menacer.
Un jour, peut-être merveilleux ou peut-être néfaste, allez savoir, il enlève comme d’habitude une voiture sur un emplacement réservé à la livraison. Mais voilà qu’il découvre sur la banquette arrière, une vieille dame. Plus question d’enlever la voiture, mais que faire ?
Et en plus, il la connaît cette vieille dame : c’est Madeleine Lamor, héroïne de la Résistance, patronne d’une biscuiterie dont le portrait se trouve sur ses paquets de galettes bretonnes.
La pauvre le confond avec son amant de 1944, résistant traqué par la Gestapo. Max se retrouve piégé dans cette histoire, obligé de défendre Madeleine contre l’appétit vorace de son neveu qui la bourre de médicaments pour la spolier.
Madeleine l’apprécie de plus en plus et c’est ainsi qu’il devint son homme de confiance. Sa vie va basculer dans cet univers de l’entreprise qu’il découvre et le déstabilise au point qu’il ne sait, comme dit sa voisine Samira, si c'est « le kif absolu ou le plus dangereux des pièges »...
La trame du récit repose sur une belle histoire entre Max et Madeleine, un écart de générations qui ne les empêche pas de se comprendre et de se réconforter. Un récit , agrémenté du franc-parler de Max, le narrateur, qui ne manque pas d'humour.
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