La vallée de la Clarée
Cette vallée, avec sa sœur jumelle la vallée étroite, forment un bel ensemble cohérent liée par les vicissitudes de l’histoire et reconnues depuis 1992 comme sites classés.
Ce classement est particulièrement important pour préserver la cohérence de cet ensemble unique, aussi bien sur l’aspect naturel, le site et son panorama, que sur l’aspect culturel avec son patrimoine bâti.
Préservée aussi bien par son classement à Natura 2000 que comme Grand Site de France, la vallée a conservé son authenticité et son caractère de ruralité montagnarde.
Cette vallée, avec sa sœur jumelle la vallée étroite, forment un bel ensemble cohérent liée par les vicissitudes de l’histoire et reconnues depuis 1992 comme sites classés.
Ce classement est particulièrement important pour préserver la cohérence de cet ensemble unique, aussi bien sur l’aspect naturel, le site et son panorama, que sur l’aspect culturel avec son patrimoine bâti.
Préservée aussi bien par son classement à Natura 2000 que comme Grand Site de France, la vallée a conservé son authenticité et son caractère de ruralité montagnarde.
De Val-des-Près à Névache
A l’entrée de la Vallée de la Clarée, tout près de Briançon, se trouve Val-des-Près avec ses 3 hameaux, tournée naturellement vers l’agriculture et l’élevage. Une vie rude surtout pendant ses rudes hivers, les durs travaux des champs et son pastoralisme d’été. Ce que nous conte Émilie Carles dans son livre « Une soupe aux herbes sauvages ».
En remontant la vallée, on arrive à Névache, petit village authentique, écrin dans son val à quelque 1600 mètres d’altitude. Dans site superbe, avec sa multitude de circuits pédestres fort bien indiqués, après plusieurs actions pour préserver le site et la vallée, il a gardé son charme un peu suranné, ses fermes montagnardes typiques de la région ou encore son église rurale avec son somptueux retable et son petit portail de bois tout sculpté.
Vers le lac de Serre-Ponçon
En venant de Briançon, à l’entrée du village de L'Argentière-la-Bessée sur la Nationale 94, se dresse la statue monumentale de l'alpiniste Edward Whymper gravissant la Barre des Ecrins.
Cette statue de 6 mètres a été réalisée pour l'occasion du Centenaire du Bureau des Guides des Ecrins, rappelant « qu’un homme, c'est un être debout qui se hausse sur la point des pieds pour apercevoir l'univers. »
Un peu plus loin, la fontaine pétrifiante de Réotier offre aussi un site remarquable bien aménagée qui permet de le surplomber et d’avoir une belle vue sur la vallée.
Les eaux d’alimentation proviennent de deux résurgences. Les eaux d’infiltration descendent par gravité et filtrent à travers les couches calcaires et de gypse tout en se réchauffant.
La fontaine est classée par l’Europe site Natura 2000 pour sa « grande valeur patrimoniale, ainsi que sa faune et sa flore exceptionnelles. »
Le lac de Serre-Ponçon
En 1955, la puissance publique décida l’érection d’un barrage pour permettre la production d’électricité, l’irrigation de terres agricoles ainsi que le développement d’activités touristiques et nautiques. Le chantier prit plus de quatre années, terminé en mai 1961.
De tous les villages détruits, seul celui de Savines fut reconstruit sous le nom de Savines-le-Lac.
C’est le deuxième lac artificiel d'Europe par sa
capacité (1,272 milliard de mètres cubes), et le troisième par sa
superficie (28,2 km²).
Le lac de Saint-Apollinaire
Le village de Saint-Apollinaire se trouve au-dessus de la retenue de Serre-Ponçon, sur le flanc sud-est du pic de Chabrières. Construite en balcon autour d'un piton rocheux portant l'église, la commune s’étend en gradins du sommet à la vallée de la Durance.
Le lac, au-dessus du village dans la forêt, offre un site magnifique propice à la pêche et à la baignade, ouvert sur le camping, appuyé sur un flanc de montagne, l’ensemble permettant de faire facilement le tour du lac.
Le fort de Mont-Dauphin
Mont-Dauphin est située sur un plateau rocheux qui surplombe le confluent des vallées de la Durance et du Guil. Sur ordre de Louis XIV, Vauban inspecte la frontière des Alpes. Après une reconnaissance des sites de la région, Il choisit ce site en novembre 1692, surplombant par des escarpements de 100 mètres de haut le confluent du Guil et de la Durance.
C’est là qu’il fera construire une place forte pour verrouiller la vallée du Guil tout en accueillant une population civile. « Je ne sais point de poste en Dauphiné, écrit-il, pas "mesme" en France, qui lui puisse être comparé pour l’utilité. »
La place forte construite à partir de 1693 fait partie des 12 sites majeurs Vauban inscrits en 2008 au patrimoine de l’Unesco. Derrière ses remparts en marbre rose, on peut voir les casernes, les échauguettes sur l'à-pic, la poudrière et l'arsenal.
Des remparts, on peut aussi apercevoir les montagnes du Queyras, les stations de ski de Vars et de Risoul ainsi que les glaciers du massif des Ecrins.
Balades culturelles 2015
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