Sous le ciel de Valence
La cathédrale Sainte-Marie
Sur la côte sud-est espagnole, côté méditerranée donc, la troisième ville du pays conjugue ses monuments d’architecture classique, parfois contemporaine, à la joie de vivre et aux nombreuses festivités.
Cette ville portuaire de 2,5 millions d’habitants annonce fièrement 300 jours de soleil par an, de quoi attirer les touristes. Elle possède aussi bien d’autres atouts qui tiennent autant à son passé qu’à son présent.
La cathédrale, Goya, Saint-François de Borgia et le moribond impénitent
Commençons par le centre historique et la place de la Vierge, tout en marbre. Ornée d’une superbe fontaine symbole du fleuve Turia, esplanade donnant sur la cathédrale Sainte-Marie de style gothique.
Le centre ville et la place de la Vierge (1)
Elle contient en particulier une relique authentifiée comme étant le Saint Calice, un retable en albâtre, des fresques du XVème siècle et quelques belles toiles de Goya. On peut ensuite être tenté de grimper les 207 marches (vous pouvez compter !) menant au Micalet, la tour-clocher qui offre un extraordinaire panorama sur la ville.
Le centre ville et la place de la Vierge (2)
Dans les environs immédiats, plusieurs palais ouverts à la visites sont intéressants comme celui du marquis de Dos Aguas aux belles salles d’apparat, actuellement musée national de la céramique, la halle de la soie du XVIème siècle et son immense salle gothique ornée d’un plafond à voûtes nervurées que soutiennent de grands piliers torsadés.
Le Micalet La halle de la soie
La ville est riche en espaces verts souvent ombragés de grands palmiers. Il est temps d’y faire une pause pour déguster la boisson locale à base d’amandes (la horchata de chufa) et les traditionnelles tapas avec un pain baguette (esmorzaret) et pour plus tard l’incontournable paëlla aux fruits de mer qu’on peut trouver au marché central.
Le palais du marquis dos Agual Le marché central
(musée de la céramique)
Après le repas, on peut prendre la direction des jardins édifiés dans l’ancien lit du Turia, détourné pour cause d’inondations, lieu de repos avec ses bosquets fleuris, ses pelouses, ses fontaines et de balades à pied ou à vélo sur ses neuf kilomètres de long.
L'allée de l'Umbracle Le jardin du Turia
Vers le port, c’est le contemporain qui domine avec la Cité des sciences où on accède par l’allée de l’Umbracle, l’impressionnant aquarium l’Océanografic et le parc animalier, le Bioparc. Pour la baignade sur la plage de sable fin des Arènes, il faut traverser le quartier El-Cabanyal aux charmantes maisons de pêcheurs aux murs décorés.
L'oceanografic Le Bioparc
Et si vous voulez vraiment faire vous amuser, rendez-vous mi-mars à la fête des Fallas. Pour célébrer l’arrivée du printemps, on dresse dans les rues de la ville des structures en bois et carton-pâte et d’énormes personnages qui seront livrés aux flammes le dernier jour de la fête lors d’immenses feux de joie.
La Cité des arts et des sciences
Le tout accompagné d’une population survoltée et agrémenté des défilés, de groupes musicaux, de feux d’artifice… et de ces extraordinaires plats de paëlla pantagruéliques.
Fallas de San José
Voir aussi mes fiches :
* Sur Salvador Dali : Figueras et Pubol-- Salvador Dali à Port-Lligat --
* Gérone et Empuriabrava -- Voyage à Cardona --
* Voyage en Andalousie – Federica Garcia Lorca --
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<< Ch. Broussas, Valence 04/03/2020 © • cjb • © >>
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La cathédrale Sainte-Marie
Sur la côte sud-est espagnole, côté méditerranée donc, la troisième ville du pays conjugue ses monuments d’architecture classique, parfois contemporaine, à la joie de vivre et aux nombreuses festivités.
Cette ville portuaire de 2,5 millions d’habitants annonce fièrement 300 jours de soleil par an, de quoi attirer les touristes. Elle possède aussi bien d’autres atouts qui tiennent autant à son passé qu’à son présent.
La cathédrale, Goya, Saint-François de Borgia et le moribond impénitent
Commençons par le centre historique et la place de la Vierge, tout en marbre. Ornée d’une superbe fontaine symbole du fleuve Turia, esplanade donnant sur la cathédrale Sainte-Marie de style gothique.
Le centre ville et la place de la Vierge (1)
Elle contient en particulier une relique authentifiée comme étant le Saint Calice, un retable en albâtre, des fresques du XVème siècle et quelques belles toiles de Goya. On peut ensuite être tenté de grimper les 207 marches (vous pouvez compter !) menant au Micalet, la tour-clocher qui offre un extraordinaire panorama sur la ville.
Le centre ville et la place de la Vierge (2)
Dans les environs immédiats, plusieurs palais ouverts à la visites sont intéressants comme celui du marquis de Dos Aguas aux belles salles d’apparat, actuellement musée national de la céramique, la halle de la soie du XVIème siècle et son immense salle gothique ornée d’un plafond à voûtes nervurées que soutiennent de grands piliers torsadés.
Le Micalet La halle de la soie
La ville est riche en espaces verts souvent ombragés de grands palmiers. Il est temps d’y faire une pause pour déguster la boisson locale à base d’amandes (la horchata de chufa) et les traditionnelles tapas avec un pain baguette (esmorzaret) et pour plus tard l’incontournable paëlla aux fruits de mer qu’on peut trouver au marché central.
Le palais du marquis dos Agual Le marché central
(musée de la céramique)
Après le repas, on peut prendre la direction des jardins édifiés dans l’ancien lit du Turia, détourné pour cause d’inondations, lieu de repos avec ses bosquets fleuris, ses pelouses, ses fontaines et de balades à pied ou à vélo sur ses neuf kilomètres de long.
L'allée de l'Umbracle Le jardin du Turia
Vers le port, c’est le contemporain qui domine avec la Cité des sciences où on accède par l’allée de l’Umbracle, l’impressionnant aquarium l’Océanografic et le parc animalier, le Bioparc. Pour la baignade sur la plage de sable fin des Arènes, il faut traverser le quartier El-Cabanyal aux charmantes maisons de pêcheurs aux murs décorés.
L'oceanografic Le Bioparc
Et si vous voulez vraiment faire vous amuser, rendez-vous mi-mars à la fête des Fallas. Pour célébrer l’arrivée du printemps, on dresse dans les rues de la ville des structures en bois et carton-pâte et d’énormes personnages qui seront livrés aux flammes le dernier jour de la fête lors d’immenses feux de joie.
La Cité des arts et des sciences
Le tout accompagné d’une population survoltée et agrémenté des défilés, de groupes musicaux, de feux d’artifice… et de ces extraordinaires plats de paëlla pantagruéliques.
Fallas de San José
Voir aussi mes fiches :
* Sur Salvador Dali : Figueras et Pubol-- Salvador Dali à Port-Lligat --
* Gérone et Empuriabrava -- Voyage à Cardona --
* Voyage en Andalousie – Federica Garcia Lorca --
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